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où je me pose 10 000 questions à la minute

J’ai eu l’honneur d’être pendant 5 ans le Premier ministre de Nicolas Sarkozy. Nous avons tenu notre engagement de remettre la France en mouvement avec un nombre de réformes qu’aucun autre quinquennat n’a engagé. Nous l’avons fait dans un climat de crise européenne et de crise mondiale d’une violence inouïe et qui ne sont d’ailleurs pas terminées. Nous avons protégé les Français des régressions sociales qui ont frappé plusieurs pays européens. Nous avons jeté les bases d’une modernisation en profondeur de notre pays. Je suis solidaire de la totalité du travail de l’équipe gouvernementale que j’ai conduite et du bilan de Nicolas Sarkozy à qui je rends hommage.

Pendant cinq ans, Nicolas Sarkozy a tenu la barre. Il a tenu la barre en pleine tourmente internationale.

Il a montré qu’il possédait une vertu qui, il faut bien le dire, est assez rare en politique : le courage d’agir.
Avec Nicolas Sarkozy, nous avons réformé, nous avons bousculé les conservatismes, nous avons résisté aux oppositions. Nous n’avons jamais cédé ! Non seulement, nous avons engagé des réformes courageuses, des réformes qui changent à long terme la compétitivité de l’économie française mais nous avons réussi à résister en même temps à une crise, qui est une crise qui a ébranlé gravement certains pays européens.

Durant cinq années, j’ai vu son courage, son énergie mêlée d’expérience, j’ai vu aussi sa générosité, ses hésitations, ses doutes secrets, ses revirements après avoir entendu des arguments justes, j’ai vu les blessures qui lui ont été infligées, j’ai vu les trahisons qui l’ont freiné dans son élan.

Rien à voir avec le portrait malveillant, injurieux, dressé par ceux qui avait fait de l’antisarkozysme leur argument de campagne.

Aucun président n’a fait, sous la 5° République l’objet d’un tel pilonnage.

Pourquoi ?

Parce qu’il a fait des erreurs ?

Mais qui n’en a pas fait ? J’en ai fait. Parce qu’il a osé, parce qu’il a foncé, parce qu’il n’a pas fait semblant comme tant d’autres avant lui ?

Je dis aux Français : retenez de Nicolas Sarkozy ses actes, jugez-le à sa capacité à affronter les crises, cette part d’audace sans laquelle la France serait aujourd’hui déclassée.
L’Histoire rendra justice à Nicolas Sarkozy pour les réformes accomplies et la manière dont il a affronté la crise. Jamais il n’a baissé les bras ! Il a été le Président du courage.

Engagement tenu

En démocratie, la première chose qui compte c’est de tenir les engagements que l’on a pris. En 2007, avec le Président de la République, nous avons été élus sur un projet réformateur que nous avons mis en œuvre malgré les résistances, malgré les risques d’impopularité et surtout malgré une crise qui a concentré toutes nos énergies.

L’Histoire nous a imposé un autre mandat, que nous n’avions pas prévu et que nous n’avions pas choisi : celui de répondre à la pire crise financière et économique depuis les années 30. Crise financière, crise économique, crise de l’Europe : tout le quinquennat de Nicolas Sarkozy aura été un quinquennat de combat face à un monde en rupture. Ces crises ont bousculé nos objectifs. Elles ont réduit nos marges de manœuvre.

Malgré cela, nous avons engagé des réformes courageuses, des réformes structurelles, des réformes difficiles et parfois impopulaires, qui vont changer le visage de notre pays dans la durée. Bien sûr, aucun bilan n’est parfait,  Je sais ce que nous n’avons pas réussi, qu’il n’y a des erreurs qui ont été commises, qu’il y a eu des sujets sur lesquels on aurait aimé avancer plus vite, que la crise a bousculé certaines de nos espérances.  Nous avons pu décevoir ceux qui espéraient tant en nous, mais personne ne peut nous jeter la pierre en disant : « Ils n’ont pas tenu leurs engagements ».

J’ai la conviction qu’avec Nicolas Sarkozy, nous avons posé les fondations d’une France plus moderne, plus solide, plus clairvoyante face aux défis de la mondialisation. J’ai la conviction que face à la crise nos réponses ont été adaptées et justes. J’ai la conviction que nous avons mieux protégé nos concitoyens que dans les autres pays européens.

Quand on fera le bilan de l’action qui a été celle des gouvernements que j’ai eu l’honneur de conduire, ce bilan, on pourra le comparer sans rougir à beaucoup d’autres bilans de la Vème République.

L’engagement principal de Nicolas Sarkozy en 2007 « remettre la France en mouvement » a été tenu.


Nous avons remis la France en mouvement par FrancoisFillon

La France en mouvement

Ce quinquennat a été un quinquennat de rupture dans la volonté de réformer jusqu’au bout. Contre les conservatismes, contre les résistances, nous avons tracé notre route, là ou bien d’autres gouvernements auraient fait machine arrière.

La légitimité du changement a davantage progressé dans notre pays en l’espace de cinq ans qu’au cours des vingt dernières années. Personne ne peut nier que nous avons fait sauter des verrous psychologiques et que nous avons réintroduit du mouvement dans la société française.

Pendant cinq ans, et malgré la violence des crises, nous avons bousculé les conservatismes, nous n’avons renoncé à aucune des réformes que nous avions engagées.

C’est la première fois depuis bien longtemps que pendant la durée d’une législature un gouvernement n’a pas été amené à retirer un texte qui est en discussion au Parlement devant la pression de la rue. Avec Nicolas Sarkozy, nous avons montré qu’il était possible d’avoir un dialogue social, qu’il était possible de présenter des réformes équilibrées mais qu’il était aussi nécessaire lorsque le Parlement avait décidé d’engager ces réformes d’aller jusqu’au bout et de ne jamais céder à la pression. Et nous l’avons fait, parce que ces réformes étaient indispensables.

Nous avons fait évoluer en profondeur la société française. Nous avons mis en place tous les éléments pour la modernisation de notre pays. La force de Nicolas Sarkozy et de la majorité est d’avoir osé bousculer des tabous qui étaient autant d’obstacles sur la route du progrès, de la croissance et de la cohésion nationale.

Notre quinquennat aura été, jusqu’au dernier jour, inspirée par une intensité politique qui en fait sa singularité et son honneur. Il marque le retour de la volonté politique. La France rétive aux changements, crispée sur quelques dogmes politiquement intouchables, s’est mise en mouvement, et sur plusieurs sujets, je crois pouvoir parler de révolution culturelle.

L’autonomie des universités, l’augmentation des moyens de la recherche, les pôles de compétitivité, les investissements d’avenir, nous avons tout fait pour libérer l’initiative et pour préparer l’avenir de la jeunesse de notre pays.

La loi sur la représentativité des syndicats, sujet tabou s’il en était, a démocratisé un système issu de l’après-guerre et va permettre d’avoir en France des organisations syndicales démocratiques, responsables et réformatrices.

L’instauration du service minimum a modifié le rapport entre les usagers et les grévistes qui ne sont plus en droit de prendre les français en otage.

La loi contre le port de la burqa a marqué un coup d’arrêt à une pratique qui portait atteinte au principe de laïcité et à la dignité de la femme

La réforme des régimes spéciaux de retraites et le dépassement du symbole des 60 ans ont sécurisé notre modèle social.

La défiscalisation des heures supplémentaires a redonné du souffle à la valeur du travail en assouplissant le carcan des 35 heures et de la souplesse à un système qui étouffait progressivement l’économie française.

La réduction des dépenses publiques et du nombre de fonctionnaires constituent un premier pas historique dans un pays qui n’avait jamais osé s’y astreindre.

La loi rapprochant les forces de la Gendarmerie et de la Police nationale est venue se substituer à une loi qui remontait à 1789 pour s’adapter aux réalités économiques et sociales, répondre aux mutations de la délinquance et resserrer les liens entre gendarmes et policiers.

La restructuration de la carte militaire a été une étape supplémentaire dans la modernisation de notre armée qui a commencé avec la réforme de la professionnalisation.

La création de Pôle emploi, la rupture conventionnelle du contrat de travail, la réforme de la formation professionnelle, le développement massif de l’apprentissage, ont jeté les bases d’une véritable flexisécurité à la française.

L’encadrement des retraites chapeaux, la taxation des stock-options ; le combat contre les paradis fiscaux, entre autres, sont des mesures de justice sociale que les socialistes n’avaient jamais entrepris.

On peut être pour ou contre les réformes que nous avons accomplies. On peut les juger trop ambitieuses ou on peut au contraire les juger trop modestes, mais personne ne peut dire que nous n’avons pas agi avec sincérité, avec courage et avec la volonté de répondre à l’intérêt national.

Nous avons aussi, en même temps que nous conduisions ces réformes, réussi à résister à la succession de crises qui a terrassé plusieurs pays en Europe.

La protection des Français

Nous aurions pu imaginer que ce nouveau siècle, après un XXème siècle aussi sanglant, allait nous fournir l’espace d’une respiration, sous les auspices d’une prospérité internationale qui semblait solide. Rien de cela n’est arrivé. Ce quinquennat de combat fut mené pour protéger la France et pour protéger les Français de la pire bourrasque économique et financière que nous ayons connue depuis les années 1930.

Bien sûr cela n’a pas été sans difficultés et sans conséquences sur la vie quotidienne de chacun de nos concitoyens. Mais, la protection des Français a été une préoccupation permanente et notre nation a résisté mieux que d’autres. Le Gouvernement a évité la faillite des banques, il a protégé l’épargne des Français, il a protégé leur pouvoir d’achat et leurs emplois.

Contrairement à une idée reçue, le pouvoir d’achat, dans notre pays, a tenu alors même qu’il était en chute libre dans la plupart des autres pays européens. Il a progressé chaque année sous le quinquennat de Nicolas Sarkozy. Naturellement, nous aurions souhaité qu’il progresse plus, mais c’est une performance de la France que d’avoir maintenu une progression du pouvoir d’achat pour les Français, en moyenne, dans un contexte aussi difficile.

La revalorisation du minimum vieillesse, la suppression des deux tiers de l’impôt sur le revenu pour 5 millions de Français, la prime de solidarité, l’augmentation de l’indemnisation du chômage partiel, le RSA, le doublement des constructions de logements sociaux, l’effort en direction de l’hébergement d’urgence, ont permis de préserver la cohésion sociale au plus fort de la crise.

Quant à la hausse du chômage chacun doit avoir l’honnêteté de reconnaître qu’elle a été deux fois moindre que dans la moyenne de l’Union européenne grâce aux mesures que nous avons prises.

En quelques années, notre peuple a démontré qu’il ne craignait pas de se moderniser, et malgré les à-coups, il a révélé sa capacité à s’adapter. Sans paniquer, sans se démobiliser, le peuple français a su résister à l’une des pires crises économiques et financières depuis un siècle. Quant à nos résultats, ils démontrent que nous avons mieux résisté à la tempête que bien des pays européens.

La lutte contre le déficit de la France

Depuis le début des années 1970, l’endettement public ne cessait de croître et aucun gouvernement n’avait présenté de budget à l’équilibre même pendant les phases de fort dynamisme de l’activité. Année après année, depuis plus de trente ans, nous ne cessions d’augmenter nos dépenses publiques et de creuser notre endettement. La société française considérait que la baisse de la dépense publique était un sujet tabou Même à droite on n’osait pas utiliser ce mot.

Avec Nicolas Sarkozy, nous nous étions engagés au retour à l’équilibre des finances publiques en 2016.
La crise financière de 2008 nous a conduit à rompre momentanément avec cet objectif et à bâtir un plan de relance pour soutenir l’activité économique. Au final, alors qu’entre 2007 et 2012 la crise aura contribué à creuser le déficit de 75 milliards d’euros, il n’aura augmenté, que de 36 milliards d’euros. La politique budgétaire que nous avons menée aura permis de diviser par plus de 2 l’effet de la crise sur nos finances publiques.

Parallèlement, dans le cadre européen, nous avons décidé d’organiser le retour à l’équilibre en 2016. La réduction des déficits a ainsi fait l’objet d’un effort sans précédent. En 2011, nous avons réduit de 25% le déficit français ; passant de 7,1% du PIB en 2010 à 5,2% en 2011. Avec une réduction globale de 34 Md€, il était inférieur de 34 Md€ par rapport à celui de l’année précédente. C’est une première historique ; jamais dans l’histoire récente de notre pays, dans l’histoire de la Vème République, le déficit de la France n’avait autant diminué d’une année sur l’autre.

Début 2012, la France était en avance dans le redressement des comptes publics que nous avions engagé.

C’est le résultat des réformes structurelles et des efforts de modernisation de l’appareil de l’Etat que nous avons conduits. Dès 2008 nous avons réformé nos structures, nous avons rationalisé l’organisation de l’Etat, nous avons gelé ses dépenses, nous avons réduit le nombre de fonctionnaires. En matière sociale, nous avons engagé des réformes très importantes, celle des retraites qui nous permet de garantir à terme le retour à l’équilibre des régimes. Quant à la maîtrise de nos dépenses de santé, jamais aucun gouvernement depuis 1997 n’avait réussi à respecter l’objectif de dépenses de santé voté par le Parlement.

Bien sûr, il y  eut des contestations lorsque nous avons supprimé un tribunal, une installation militaire, réduit les postes dans la fonction publique, ou quand nous avons demandé aux collectivités territoriales de réduire leur train de vie et de faire des efforts. Mais sans ces efforts, il est impossible de réduire les déficits et personne aujourd’hui ne peut nier que la dépense publique doit baisser. Ce résultat c’est aussi le fruit des plans d’équilibre des finances publiques que j’ai eu la charge de présenter au mois d’Août et au mois de Novembre 2011 qui avaient tellement suscité de critiques.

Pour la première fois depuis 1960, la dépense publique en France a baissé. Avec Nicolas Sarkozy, nous avons démontré que c’était possible. Nous avons laissé la France en parfaite conformité avec les prévisions que nous avions faites pour réduire le déficit du pays.

L’effort budgétaire et financier est un choix que nous avons fait pour la nation et pour les générations à venir. Notre souveraineté économique, financière et sociale exige des efforts collectifs et prolongés.

Le renforcement du cœur de l’Europe

L’Europe a fait preuve d’une extraordinaire capacité d’adaptation face à une succession de crises et à chaque fois la France a été au centre des impulsions et des décisions. D’abord avec la Présidence française de l’Union en 2008 qui a été conduite avec un brio unanimement reconnu par Nicolas Sarkozy.

Ensuite, plusieurs fois au cours du quinquennat, lorsque l’Europe a été à deux doigts d’éclater, la France s’est mobilisée, elle a entraîné l’Allemagne, pour renforcer le cœur de l’Europe et sauver la monnaie Européenne.

Nous avons toujours veillé à construire des compromis équilibrés entre une volonté française d’avancer vers une Europe politique, c’est à dire vers une Europe qui soit gouvernée par les représentants du peuple et non par les technocrates, et la volonté allemande de discipliner les finances des Etats européens. C’est ces deux volontés qui ont permis d’avancer, notamment à chaque étape de la crise financière.

Nicolas Sarkozy a été l’un de ceux qui a permis de sauver les Européens de la faillite bancaire, cela s’est joué en une soirée à l’Elysée autour du Président de la République, de la Chancelière allemande et de quelques dirigeants européens, dont le Premier ministre anglais. C’est cette décision, c’est cette réactivité, c’est ce courage qui ont permis de sauver l’économie européenne et les économies des Français.

Nous avons décidé de renégocier les traités pour créer les conditions d’un gouvernement économique qui soit en mesure de piloter la zone euro, pour enclencher le désendettement des Etats de l’Union, pour nous armer des instruments nécessaires pour repousser les assauts de la spéculation.

Je veux rappeler que pendant six mois, depuis le mois d’Août 2011 jusqu’au début de l’année 2012, l’euro a été sous les feux de la spéculation, l’euro était menacé.

Tout au long de l’automne la question était de savoir si l’euro allait disparaitre. La spéculation contre l’euro s’est arrêtée parce que nous avons réussi à faire la démonstration que les européens étaient solidaires, qu’ils étaient capables de mettre en place les instruments financiers pour protéger les pays les plus faibles, qu’ils étaient capables de s’engager sur une discipline budgétaire qui permettrait à tous les pays européens de revenir à l’équilibre des comptes publics.

Jour après jour, conseil européen après conseil européen, malgré toutes les difficultés, malgré toutes les critiques, nous avons mis en place les instruments pour protéger la monnaie européenne.

Ce renforcement du cœur de l’Europe au plus forte de la crise c’est avant tout le résultat de l’acharnement de Nicolas Sarkozy et d’Angela Merkel pour sauver l’euro et pour protéger l’immense héritage de 60 années de progrès en Europe.

Le comportement d’une grande puissance internationale

La France a riposté avec rapidité, avec justesse et avec autorité à la crise financière et économique mondiale. Durant cette période trouble, chacun a pu constater que notre pays s’est aussi constamment montré en première ligne de l’initiative et de la solidarité internationale. En un mot, il s’est comporté en grande puissance politique.

A la présidence du G20, notre pays a agi en leader d’un monde désordonné en mal de repères.

À Bruxelles, au chevet de l’Europe malade, la France a défendu l’Europe comme elle aurait défendu son propre héritage national.

A Berlin, nous sommes allés de l’avant dans l‘entente franco-allemande sans laquelle aucune décision n’aurait été prise.

Au Proche-Orient, notre diplomatie a présenté courageusement aux Israéliens et aux Palestiniens les voies d’une solution responsable et audacieuse.

En Afghanistan, nous avons respecté le mandat qui nous avait été confié et partagé nos responsabilités avec nos alliés.

En Libye et en Côte d’Ivoire, nous avons offert aux peuples le pouvoir de conquérir leur liberté. A quoi bon s’engager là-bas nous disait l’opposition ?

Si Nicolas Sarkozy n’avait pas eu l’audace de sauver Benghazi, le carnage aurait eu lieu et l’honneur de la communauté internationale aurait été bafoué.

S‘il n’avait pas eu l’audace de faire respecter la démocratie en Cote d’Ivoire, le sort du peuple ivoirien aurait été scellé dans le sang.

Oui, nous pouvons être fiers d’être Français. Nous pouvons être fiers d’avoir défendu les intérêts de la France. Nous pouvons être fiers de nous être engagés à chaque fois que l’Union Européenne semblait douter d’elle-même, et d’avoir été partout fidèles aux valeurs que la France incarne dans le monde. La France est grande lorsqu’elle est grande pour le monde, lorsqu’elle montre l’exemple car les actes parlent toujours plus que le verbe.

Hommage à la majorité parlementaire

Durant cinq années j’ai été un Premier Ministre qui a pu compter sur sa majorité y compris dans les moments les plus difficiles.

Je voudrais une nouvelle fois exprimer ma reconnaissance à la majorité parlementaire pour sa confiance et son attitude.

Lorsque la crise frappait, lorsqu’il fallait prendre des décisions urgentes et impopulaires, mais qui étaient nécessaires pour protéger la croissance, l’économie et  l’emploi et pour préserver l’avenir de notre pays, j’ai toujours pu compter sur le soutien des membres de la majorité. Et, je sais que c’est difficile parce ce que ce n’est pas la même chose de voter une loi, de mettre en œuvre une réforme à l’Assemblée nationale, dans la chaleur et la solidarité d’une majorité et puis de se retrouver le samedi suivant sur le marché de sa commune et de devoir expliquer ses décisions à des concitoyens qui ne les comprennent pas toujours et qui peuvent considérer qu’à un moment où un autre, leurs propres intérêts ont été lésés.

Peu de Premier Ministre pourront dire : pendant cinq ans, « je n’ai jamais eu de difficulté avec ma majorité ».

Merci à tous nos parlementaires de la majorité de leur soutien indéfectible. Ils portent une grande part dans le redressement et la modernisation de notre pays.

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